« Un instrument,
Une danseuse
Les rencontres de l’Espace, de la technique, de l’Humour et du rêve. » – Maurice Béjart
Maurice Béjart a créé de nombreux ballets sur la musique de Gustav Mahler : Le chant du compagnon errant, Ce que l’Amour me dit, Ce que la Mort me dit, Adagietto, A force de partir je suis resté chez moi…
Dans Liebe und Tod, le chorégraphe prend un lied déjà mis en danse, Wo die schönen Trompetten blasen, en l’assortissant d’une nouvelle création pour Gil Roman : La Mort du tambour. Cette dernière est chorégraphiée sur Der Tamboursg’sell, un autre lied de Mahler tiré du recueil intitulé Des Knaben Wunderhorn.
« Par l’amour, l’adorateur s’identifie avec la divinité et revit chaque fois la légende de son Dieu, qui n’est lui-même qu’un des visages de la réalité et sans nom.
Shiva, troisième personne de la Trinité hindoue (Brahma, Vishnou, Shiva).
Dieu de la Destruction (qui est surtout la destruction de l’illusion de la personnalité). Dieu de la Danse. Son épouse, Shakti, n’est autre que son énergie vitale qui émane de lui et retourne en lui, immobile et pourtant éternellement en mouvement. » – Maurice Béjart, 1968
« Pendant cette période troublée, nous avons eu envie de légèreté. J’ai donc composé, en ouverture de cette soirée, une suite de chorégraphies articulée autour de la technique classique, qui n’a d’autre sujet que le plaisir de danser. Je la dédie à Patrick Dupond qui, pour moi, l’incarnait ! » – Gil Roman
Cette fonction a été désactivée