En première partie de soirée, Alors on danse… ! se déploie comme un enchaînement de compositions exigeantes, chassés croisés amoureux d’une sensualité affirmée, offre aux danseuses et danseurs la matière pour exprimer le meilleur d’eux-mêmes. Ce plaisir de tous les sens, Gil Roman le dédie à Patrick Dupond, un artiste iconique qui l’incarnait à chacune de ses apparitions sur scène.
Pour la seconde partie, la compagnie présente deux ballets issus du répertoire de Maurice Béjart, parmi ses œuvres les plus emblématiques. Tout d’abord, Liebe und Tod chorégraphié sur la musique de Gustav Mahler, offre une exploration profonde des thèmes universels de l’amour, de la vie et de la mort à travers le langage de la danse. La soirée se conclut avec 7 danses grecques, rythmé par la musique envoûtante de Mikis Theodorakis. Béjart lui-même décrivait cette pièce comme un hommage à la Grèce, où les emprunts au folklore sont à la fois discrets et évocateurs.
Cette fonction a été désactivée