En ouverture de soirée, Bye bye baby blackbird du chorégraphe néerlandais Joost Vrouenraets, invité de la compagnie. Fruit d’une introspection profonde, son ballet anticipe le processus de deuil d’une disparition programmée, les échos de l’absence physique d’un être cher. Dans la succession de tableaux qui pulsent au rythme des compositions telluriques du monument de la country Johnny Cash, Bye bye baby blackbird s’offre comme une étreinte dans la lumière qui ondoie au cœur de l’obscurité.
Pour la seconde partie, la compagnie présente Béjart et nous, un voyage à travers le répertoire dansé (et musical) de Maurice Béjart. Une proposition artistique sensible de Julien Favreau, une immersion au cœur de l’œuvre éclectique et foisonnante du Maître interprétée par les danseuses et danseurs de sa compagnie d’aujourd’hui.
En dernière partie, Boléro, un ballet créé en 1961 sur la partition envoûtante de Maurice Ravel. Le rôle central – la Mélodie – est tour à tour confié à une danseuse ou à un danseur, tandis que le Rythme est porté par un groupe de danseurs.
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