Après onze ans d’attente, le public du Stadsschouwburg a réservé hier soir un accueil aussi surpris qu’enthousiaste au retour du Béjart Ballet Lausanne à Anvers. Pour cette première des quatre représentations dansées à guichets fermés (ne restent que quelques places pour la matinée de dimanche) dans le théâtre flamand, la compagnie de Gil Roman a présenté deux programmes miroirs de son répertoire, salués par de longues ovations : Tous les hommes presque toujours s’imaginent, ballet du directeur artistique du BBL sur des musiques de John Zorn, et Béjart fête Maurice, mosaïque d’extraits de chorégraphies de Maurice Béjart, avec Boléro en guise de final flamboyant.
Cette fonction a été désactivée