« L’ascension férocement lente du Boléro, composé en 1928 par Maurice Ravel, dans la version chorégraphiée de Maurice Béjart, reste un pic de transe. » – L’Echo
« Ce sont des images que je propose, mais je préfère que les spectateurs voient le ballet et ressentent la chorégraphie. » – Gil Roman à propos de sa création Tous les hommes presque toujours s’imaginent
« Un ballet, c’est une espèce de miroir dans lequel le public se voit, voit son intériorité et fait son propre voyage. Je ne crois pas aux chemins tout tracés. » – Gil Roman
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« Le Boléro, c’est aussi Béjart. Maurice Béjart et sa chorégraphie étourdissante. Un podium surélevé, un cercle rouge, une toile qui brille, un presque solo. » – Françoise Barré
« Les chefs d’oeuvre, on les donne et les redonne et le public est à chaque fois touché, à chaque fois là. Le Boléro reste parmi les ballets très importants et mythiques de la compagnie. » Gil Roman
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« Au rythme de Zorn jaillit toute l’excellence de la troupe. Depuis plus de dix ans, Gil Roman préserve et cultive sans relâche la rigueur de Béjart, que ce soit dans les ballets qu’il remonte ou ses propres créations : la technique de sa trentaine de danseurs est impeccable, les ensembles parfaitement maîtrisés et synchronisés sans jamais figer l’interprétation. » – Stéphanie Bocart
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